"Pass sanitaire" : les Alsaciens dans la rue pour défendre leur liberté

25 juillet 2021 - 2 commentaires

Toujours plus nombreux, des milliers d'Alsaciens manifestent, au coeur de l'été, leur opposition à leur privation de liberté programmée...

Malgré les tentatives de minimisation, désormais flagrantes, des "grands médias"- grands par la taille, et de plus en plus petits par leur éthique...

Parmi les manifestants, de nombreux soignants, restaurateurs, commerçants, déterminés à aller au bout de leurs convictions !

A Colmar, l'imposant cortège de 4000 citoyens parti de la place de la Mairie, après une étape au Champ de Mars, s'étirait ensuite (sans l'ombre d'un incident) sur toute la bien-nommée avenue de la Liberté, depuis le pont de la Gare, jusqu'à l'entrée de l'hôpital PASTEUR, où s'est terminée la manifestation, en soutien aux soignants.

2 commentaires

#1 samedi 31 juillet 2021 @ 21:50 Dr Baghl a dit :

J'avoue avoir du mal à vous suivre ici. En janvier vous vous offusquiez, avec raison, contre le pouvoir qui ne deneigeait ou ne salait pas correctement les rues, au risque réel de quelques fractures... et là vous semblez vous offusquer contre le pouvoir qui essaie de contenir comme il peut cette épidémie ayant déjà fait autrement plus de victimes ... en particulier en Alsace. Ou peut-être avez-vous une autre approche à proposer ?

#2 lundi 02 août 2021 @ 09:59 lautenbachois.fr a dit :

@Dr Baghl Merci pour votre visite ; en réponse à votre commentaire (et toutes proportions gardées en terme de comparaison sur les "Pouvoirs") il vous est proposé de rebondir sur la métaphore du verglas à travers les 2 scénarios suivants ; chacun choisira celui qu'il préfère, toute ressemblance avec une situation existante étant, naturellement, purement fortuite ...
Scénario 1:
Le verglas hivernal étant un risque LOCAL connu depuis toujours, les autorités LOCALES, légitimées par des élections à fort taux de participation et siégeant proportionnellement à leur électorat, ont consciencieusement anticipé le problème et adopté des mesures et des protocoles rigoureux en vue de limiter au maximum les dégâts liés au verglas : campagnes de prévention à la conduite hivernale, chaînes à neige obligatoires pour les automobilistes souhaitant emprunter les rares itinéraires non dégagés (par des moyens mutualisés de déneigement), services de secours rodés et opérationnels en cas d'accidents survenant malgré les chaînes obligatoires, professionnels automobile (carrossiers, garagistes) disposant de qualifications et de rémunérations à la hauteur des contraintes qui leur sont demandées dans la prise en charge des véhicules victimes du verglas.
Scénario 2 :
Le verglas hivernal est subitement décrété "cause de mortalité principale" dans le monde après des accidents de très vieilles voitures déjà abîmées ; en urgence, créées en plein été par une poignée de personnes, apparaissent alors des lois pour imposer à tous, automobilistes, piétons, hémisphère sud, hémisphère nord, l'achat d'un nouveau modèle de chaîne à neige révolutionnaire faisant fondre instantanément le verglas (mais peut-être pas TOUS les types de verglas, c'est encore flou) et dont on ne sait pas avec certitude si elles tiendront sur les longs trajets ni si elles s'adapteront à toutes les roues ; mais tout le monde doit, pour avoir le droit de se déplacer désormais, prouver qu'il est bien en possession de ces (ses) nouvelles "chaînes" à neige pour éviter toute glissade sur l'hypothétique verglas ; Les professionnels de l'automobile, déjà débordés et en sous effectif car exerçant une profession sous-rémunérée, d'une grande pénibilité et sous-dotée en moyens techniques, ont non seulement la charge obligatoire de fournir à toute la population ce nouveau modèle de chaîne à neige dont ils ne connaissent rien (mais dont le chiffre d'affaire des 2 distributeurs exclusifs explose), mais en plus, un décret les force à utiliser eux mêmes en premier cet équipement sous peine de perdre leur emploi (pour lequel ils n'ont pas eu d'augmentation depuis plus de 10 ans) ; quels criminels ils seraient de refuser de participer à ce projet pourtant si humainement soucieux de l'avenir de la VOITURE !

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